A neuf mois de l'élection présidentielle de 2012, Nicolas Sarkozy, bien que très impopulaire (36% de Français satisfaits selon l'institut Ifop en juillet), est de toute évidence en train de rattraper son retard sur les candidats socialistes dans les intentions de vote.
En effet, alors qu'il a décidé de changer de posture, prenant de la hauteur et exposant davantage son premier ministre, François Fillon, on note depuis juin une remontée du président de la République dans les sondages. Ainsi, selon Ifop (21 juillet 2011) il ne serait plus battu que de quatorze points par François Hollande (57/43). Plus inquiétant, toujours selon Ifop, il n'aurait plus que six points de retard sur Martine Aubry (53/47). Quant à Marine Le Pen, un temps présentée comme une rivale de poids, elle ne fait désormais plus figure de candidate sérieuse au second tour.
Ces résultats alarmants pour le Parti socialiste, qui s'est endormi sur ses lauriers, ne seraient rien si le site de sondages en ligne "cmonvote" -dont la rigueur n'est plus à démontrer- n'avait pas été plus loin encore, en donnant depuis deux semaines Nicolas Sarkozy vainqueur en 2012 (par 50.66% des suffrages, contre 49.34% à François Hollande, sur un échantillon de plus de mille personnes).
Le scrutin a beau être serré, les dernières semaines ont vu une érosion des voix du candidat du Parti socialiste, passé de 30% (23 juin) à 26.5% (28 juillet) au premier tour, essentiellement au profit du candidat de la gauche républicaine Jean-Pierre Chevènement, passé de 0.8% (9 juin) à 2.16% (28 juillet). Ce dernier passe, en quelques semaines, de la dixième à la huitième place au premier tour.
Au moment où l'échéance approche, le Parti socialiste, en campagne, ne parvient pas à convaincre les français. Au contraire, plus ses cadors se montrent, plus ils sont jugés incompétents.
Dans le même temps, Jean-Pierre Chevènement, du fait de son expérience et de sa fidélité aux grands principes de la gauche (égalité républicaine, méritocratie, nationalisation de certaines des banques les plus importantes de notre pays, défense des services publics, laïcité, justice fiscale), apparaît de plus en plus comme une solution pour sortir la gauche de sa torpeur.
Les prochains résultats, visibles sur le site "cmonvote", ne sauraient que le confirmer.
En effet, alors qu'il a décidé de changer de posture, prenant de la hauteur et exposant davantage son premier ministre, François Fillon, on note depuis juin une remontée du président de la République dans les sondages. Ainsi, selon Ifop (21 juillet 2011) il ne serait plus battu que de quatorze points par François Hollande (57/43). Plus inquiétant, toujours selon Ifop, il n'aurait plus que six points de retard sur Martine Aubry (53/47). Quant à Marine Le Pen, un temps présentée comme une rivale de poids, elle ne fait désormais plus figure de candidate sérieuse au second tour.
Ces résultats alarmants pour le Parti socialiste, qui s'est endormi sur ses lauriers, ne seraient rien si le site de sondages en ligne "cmonvote" -dont la rigueur n'est plus à démontrer- n'avait pas été plus loin encore, en donnant depuis deux semaines Nicolas Sarkozy vainqueur en 2012 (par 50.66% des suffrages, contre 49.34% à François Hollande, sur un échantillon de plus de mille personnes).
Le scrutin a beau être serré, les dernières semaines ont vu une érosion des voix du candidat du Parti socialiste, passé de 30% (23 juin) à 26.5% (28 juillet) au premier tour, essentiellement au profit du candidat de la gauche républicaine Jean-Pierre Chevènement, passé de 0.8% (9 juin) à 2.16% (28 juillet). Ce dernier passe, en quelques semaines, de la dixième à la huitième place au premier tour.
Au moment où l'échéance approche, le Parti socialiste, en campagne, ne parvient pas à convaincre les français. Au contraire, plus ses cadors se montrent, plus ils sont jugés incompétents.
Dans le même temps, Jean-Pierre Chevènement, du fait de son expérience et de sa fidélité aux grands principes de la gauche (égalité républicaine, méritocratie, nationalisation de certaines des banques les plus importantes de notre pays, défense des services publics, laïcité, justice fiscale), apparaît de plus en plus comme une solution pour sortir la gauche de sa torpeur.
Les prochains résultats, visibles sur le site "cmonvote", ne sauraient que le confirmer.
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