vendredi 25 novembre 2011

Chevènement progresse encore dans les sondages!

Depuis plusieurs semaines, les Français ont une bonne raison de s'intéresser à l'élection présidentielle de 2012 : la candidature de Jean-Pierre Chevènement.
Celle-ci redonne du sens à la vie politique de notre pays : M. Chevènement, en effet, ne fut pas le promoteur d'une Europe fédérale homogénéisant les peuples ; M. Chevènement n'est pas l'homme qui a ruiné les idéaux méritocratiques, humanistes, républicains de l'école française ; M. Chevènement n'est pas non plus, loin s'en faut, un leader populiste opposant les ouvriers aux patrons, les cadres libéraux aux agriculteurs, les nationaux aux immigrés.

Dans un sondage publié sur le site "Cmonvote", Jean-Pierre Chevènement est désormais crédité de 3,37% des intentions de vote, et se place à la troisième place des candidats de gauche (derrière M. Hollande et M. Mélenchon), devant Mme Joly ou M. Poutou.

Le programme du président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen est un programme à la fois républicain, progressiste et européen. Il représente un nouvel espoir pour les Français désorientés par la crise des valeurs en Europe occidentale. L'insistance sur le droit à la sûreté, la laïcité, la justice fiscale, l'égalité républicaine, la propriété privée, font de M. Chevènement l'homme de la situation pour 2012.

jeudi 17 novembre 2011

Un sondage confirme la percée de Jean-Pierre Chevènement

          La semaine dernière, Jean-Pierre Chevènement était crédité de 3.77% des voix à l'élection présidentielle par le site "Cmonvote".
Ce soir, le président d'honneur du Mouvement Républicain et Citoyen confirme son positionnement à la sixième place des candidats, toujours au-dessus des 3%. Son positionnement ferme sur la question nucléaire et l'indépendance énergétique de la France fait de lui un homme responsable, à l'inverse de la candidate du parti écologiste, Mme Eva Joly, qui sort affaiblie des négociations scabreuses entre le Parti socialiste et Europe-Ecologie Les Verts.

          Le combat continue pour faire partager les idées humanistes, républicaines, progressistes, patriotes portées par M. Chevènement.

samedi 12 novembre 2011

Chevènement : un sondage lui donne plus de 3% des voix au premier tour!

          La candidature, la semaine passée, de Jean-Pierre Chevènement à l'élection présidentielle de 2012, loin d'être anecdotique, soulève l'enthousiasme d'une grande partie de la population.
Alors que les deux favoris, MM. Sarkozy et Hollande, sont de moins en moins populaires dans l'opinion, à en juger par la courbe descendante des intentions de vote en leur faveur, M. Chevènement a été crédité, jeudi 10 novembre, sur le site "Cmonvote", de 3.77% des suffrages. S'il n'est bien évidemment pas aujourd'hui en mesure de se qualifier pour le deuxième tour face au président Sarkozy, il n'en demeure pas moins que les Français le placent désormais en sixième position, devant Mme Joly ou M. de Villepin.
Les propositions du candidat du Mouvement Républicain et Citoyen, loin d'apparaître désuetes ou irréalistes, séduisent le Peuple, oublié depuis trop longtemps par les deux principaux partis, le PS et l'UMP. Le méritocratie, la souveraineté nationale, l'égalité républicaine, la laïcité, la mise en avant d'une culture humaniste, la sécurité, ces idées-force traduisant le bon sens de M. Chevènement sont entendues et soutenues par le pays.

          A l'heure où la France est en plein désarroi ; où le berceau des Droits de l'Homme dépend plus que jamais de la cupidité des marchés ; où l'entraide des citoyens est anéantie par le "trade" des financiers, c'est un espoir immense qu'incarne la candidature de Jean-Pierre Chevènement.
Déjà ses adversaires, qui sont aussi les adversaires du Peuple, tentent de discréditer sa personne par des allégations calomnieuses... Lui qui fut, en 2005, le porte-parole des Français, lors du référendum pour la Constitution européenne ; lui qui, comme eux, a décidé de s'opposer, envers et contre tout, à ce texte - défendu par le PS et par l'UMP - limitant la souveraineté nationale, se voit aujourd'hui accusé de tous les maux par ceux-là même qui, il y a cinq ans, ont voulu livrer la France en pâture à l'Europe libérale!
Rien ni personne ne pourra briser le destin de M. Chevènement. C'est pourquoi nous invitons tous les citoyens républicains, humanistes, patriotes à soutenir sa candidature à l'élection présidentielle de 2012.

Pour le progrès,
Pour la République,
Pour la France.


jeudi 10 novembre 2011

Chevènement, le candidat de l'espoir


La Destinée du Peuple et le Diktat des Bourses

La situation de notre pays n'a, sous la Vème République, jamais été aussi grave qu'aujourd'hui.
Dans les prochaines semaines, sans le moindre doute, les "local and foreign ratings" de la France seront dégradées par les Agences de notation, ces monstres sans visage qui décident à la place des responsables politiques.
Jusque-là, la République avait été épargnée par la crise ; en ce 11 novembre, elle a été rattrapée, après la Grèce et l'Italie, par la cupidité des financiers.
Quatre-vingt-dix-sept ans après l'Armistice, le troisième berceau de la civilisation européenne est menacé ; mais cette fois, son ennemi, invisible, imperceptible, dissimulé, ce n'est pas une armée, c'est plus qu'une armée : un bataillon de "traders" ou autres "brokers" entre les mains desquels gît, par malheur, notre destin.

Plus qu'une note, plus que la santé économique de notre pays, c'est toute une civilisation qui s'écroule : la démocratie a été bafouée jusque dans la ville de sa naissance, Athènes, et le port du Pirée appartient aujourd'hui aux Chinois ; Rome, qui fit l'unité d'un continent, est montrée du doigt par des dirigeants acharnés. La Chancelière Merkel, pourtant, sait sans doute que l'Allemagne, au vu de son passé, n'est pas en position de donner des leçons de morale.
En deux mots, sous la pression du Diktat des places boursières, c'est une certaine idée de la politique qui s'effondre : la souveraineté des peuples est remise en cause ; à l'idéal humaniste des Républicains succède la vénalité des "multinational corporations", au rêve d'une Europe des Nations la sinistre réalité de la "zone euro", grand tiroir-caisse à ciel ouvert.

La République et la Barbarie

La candidature de M. Chevènement à l'élection présidentielle de 2012 est celle de l'espoir. L'ancien ministre de la Défense (1988-1991) et de l'Intérieur (1997-2000) s'était en effet prononcé contre le maintien de la France au sein du Système Monétaire Européen et l'installation de barrières douanières lors de la crise de mars 1983. Hélas, M. Mitterrand avait préféré écouter la composante sociale-démocrate du Parti socialiste, et choisi l'austérité. Les conséquences de cette décision furent immenses : la France prenait acte de sa perte de souveraineté ; le PS se détournait définitivement du peuple ; l'homogénéisation politique, sociale, économique, culturelle, des pays membres de la Communauté Economique Européenne aboutissait, in extremis, à l'affaiblissement de l'exception française.
Le désarroi général que nous connaissons aujourd"hui est la conséquence directe de l'erreur de M. Mitterrand.

Or, au moment où les faiblesses de M. Hollande, candidat du Parti socialiste à l'élection présidentielle, apparaissent au grand jour, Jean-Pierre Chevènement entend bien imposer des thèmes nouveaux dans la campagne, que la gauche sociale-démocrate et fédéraliste (dont M. Hollande est l'un des représentants) a abandonnés : le droit de tous les citoyens à la sécurité, la méritocratie, la laïcité, l'égalité républicaine, l'indépendance de la France, le retour à une instruction publique élitiste, autant de principes oubliés par le Parti socialiste.
Aussi la candidature de M. Chevènement suscite-t-elle l'espérance du peuple français, affronté à des obstacles sans cesse plus nombreux. Parce que la République, la grande oubliée du discours politique actuel, n'est pas un détail de l'Histoire, nous soutenons avec force le candidat du peuple pour l'élection présidentielle.
Lui seul peut proposer à la France un avenir meilleur, un projet de civilisation, à l'heure où la barbarie gagne l'Occident.